Pour apaiser les douleurs et fourmillements liés au syndrome du canal carpien.
Pour apaiser les douleurs et fourmillements liés au syndrome du canal carpien.
ENFIN UNE SOLUTION ADAPTÉE AUX GESTES DU QUOTIDIEN !
EPITACT® a créé l'orthèse souple d’activité CARP’ACTIV™ qui accompagne le poignet durant vos activités. Idéale si vous souffrez du syndrome du canal carpien.
En limitant l’amplitude des mouvements du poignet et les arrêts brusques dans vos gestes qui favorisent le syndrome du canal carpien, CARP’ACTIV® vous aide à retrouver plaisir et sérénité dans vos activités quotidiennes. Souple, fine et discrète, cette orthèse est conçue pour accompagner les mouvements de votre poignet tout en conservant l’usage de vos doigts.
Cette solution est un dispositif médical de classe I, qui porte au titre de cette réglementation le marquage CE. Lire attentivement la notice avant utilisation. Fabricant : Millet Innovation. 07/2020
EAN Main droite Taille S 3660396012048 - Taille M 3660396012062 - Taille L 3660396012086
EAN Main gauche Taille S 3660396012055 - Taille M 3660396012079 - Taille L 3660396012093
VRAI et FAUX ! Oui, ce serait l’idéal. Toutefois, immobiliser le poignet en journée peut modifier le geste et sur-solliciter les autres articulations comme le coude ou l’épaule. Celles-ci pourraient alors montrer rapidement des signes de souffrance. En journée, il est préférable de préserver le poignet des gestes à risque avec une orthèse souple qui n'entrave pas les mouvements.
FAUX ! L’orthèse CARP'ACTIV™ a été réalisée de manière à épouser au mieux les courbes naturelles de la main. De plus, une bande de maintien a été intégrée sur le dessus du poignet seulement, afin de favoriser un alignement du poignet et ainsi limiter les pressions au niveau du canal carpien. En se tendant lors de mouvements inadaptés, elle permet d’alerter l’utilisateur et de lui faire rectifier son geste. Ainsi, une orthèse ne peut être utilisée qu’unilatéralement.
VRAI ! La récidive est possible quelle que soit l’option de traitement choisie. Même après une intervention chirurgicale, des symptômes dits persistants ou des symptômes récidivants (après 3 mois d’accalmie) peuvent (ré)apparaître. Dans ces cas, il faut consulter votre médecin qui identifiera les causes précises de cette rechute et une seconde intervention sera peut-être envisagée.